Vous aimez le saumon? Alors bon appétit
11032013 Commentaires : Aucun commentaire »Catégories : 1001 raisons de s'y mettre
Ci-dessous un lien vers un pdf très utile:
http://www.fichier-pdf.fr/2011/07/27/guide-des-additifs-alimentaires-inoffensif-ou-dangereux/
L’aluminium est un des métaux lourds les plus dangereux pour notre santé. Il est pourtant présent dans beaucoup d’aliments. Et dans bien d’autres produits de consommation courante.
L’aluminium se retrouve dans nos assiettes en tant qu’additif alimentaire . Il est utilisé pour améliorer la conservation, la texture, mais aussi la couleur des produits.
La mise sur le marché de ces produits ne peut se faire qu’avec l’aval des Autorités sanitaires qui définissent une dose journalière admissible calculée à partir d’un schéma moyen de consommation. Or, cette dose est bien souvent dépassée puisqu’il s’agit d’une moyenne. Par Ailleurs beaucoup de consommateurs ont des tendances monophagiques, c’est-à-dire qu’ils ont tendance à consommer beaucoup du même produit augmentant ainsi la dose toxique absorbée. » Et si plusieurs types d’additifs sont absorbés au cours d’un même repas certains peuvent devenir beaucoup plus actifs et toxiques par une simple association de molécules « . (Dr Laurent Chevallier…….)
lire la suite:
http://www.bioaddict.fr/article/l-aluminium-un-additif-toxique-dans-nos-aliments-a47p1.html
Ne pas se laisser impressionner par la propagande, qui a découvert un joli bouc émissaire dans le scandale de la bidoche. Derrière le rideau de scène, le vrai responsable du massacre est l’élevage concentrationnaire.
C’est un peu « Au théâtre ce soir », défunte émission de la télé où les décors étaient de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell. Le scandale en cours de la bidoche de cheval fait revivre les belles heures du théâtre Marigny, mais en plus ringardos, ce qui n’est pas à la portée du premier metteur en scène venu.
Dans le rôle du gogol, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture. Dès le 11 février, alors que le feu gagne la plaine, il déclare sans s’étouffer: «Je découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne.» Le gars est petit-fils de paysan breton, il a un BTS agricole et il a même enseigné plus tard l’économie dans un lycée agricole. Mais il ne sait pas que la viande circule d’un pays à l’autre. Stéphane, même pas drôle.
Mais changeons plutôt de sujet, car on se contrefout que des marlous aient décidé de mettre du cheval dans un plat de bœuf. Dans un monde où Findus appartient à un fonds de pension qui exige 8 à 10% de rentabilité financière par an, tous les maillons de la chaîne sont appelés à truander pour remplir leurs obligations. Parlons plutôt de ce qui est planqué dessous le sang des bêtes. Pour bien comprendre ce qui va suivre, il faut commencer par un point d’histoire.
En 1961, Edgard Pisani devient le ministre de l’Agriculture du général de Gaulle. Dans le droit-fil du comité Rueff-Armand, qui entend dynamiter le cadre économique ancien — le libéralisme, déjà—, une poignée de technocrates, soutenus par Pisani, décident en toute simplicité une révolution de l’élevage.
L’idée est de profiter de l’avantage comparatif français — 20 millions de bovins et de grandes surfaces de pâturages — pour produire massivement de la viande, laquelle sera exportée dans le Marché commun naissant et permettra en retour d’investir dans des industries d’avenir. (…) Mais un produit industriel est là pour cracher du flouze, pas pour faire plaisir aux amis des animaux. Un système se met en place, à coups de sélection génétique, d’alimentation «scientifique» — une partie viendra des Amériques sous la forme de soja—, de hangars concentrationnaires, de barres métalliques de contention pour interdire au capital de bouger son cul, et bien sûr de produits chimiques. La chimie est au cœur de l’aventure industrielle de la viande. Vaccins, anabolisants, hormones de croissance, antiparasitaires, neuroleptiques pour calmer les nerfs des prisonniers et, bien entendu, antibiotiques, sont utilisés chaque jour. Les antibiotiques, dans la logique industrielle, ne sont pas là pour soigner, ou si peu: on a découvert dans les années 1950 qu’en gavant les animaux avec ces médicaments on obtenait comme par magie une croissance accélérée de leur poids, et donc des profits.
http://www.charliehebdo.fr/news/elevage-industriel-tue-aussi-les-humains-770.html
23 pays sont concernés par ce retrait. Ikea n’a pas été en mesure fournir la liste de ces pays mais le directeur d’Ikea Food France a assuré ce mardi «qu’il n’y a ni en magasin, ni dans ses restaurants aucun de ces lots de gâteaux en vente actuellement» dans l’Hexagone.
Douanes chinoises
Les autorités sanitaires chinoises sont les premières à avoir émis des soupçons sur la qualité de ces «croquants au chocolat», baptisés «chokladkrokant» en langue originale et produites par le Suédois Almondy. Interceptés en janvier à l’aéroport de Shanghai, 1800 de ces gâteaux, destinés à nourrir la clientèle chinoise, n’ont pas résisté aux tests de l’Administration générale du contrôle de la qualité, de l’inspection et de la quarantaine. Selon elle, ils contenaient «un niveau excessif de bactéries coliformes», rapporte le quotidien local Shanghai Daily. Les douanes ont donc décidé de les détruire, plaçant le vendeur de meubles scandinave une nouvelle fois au pied du mur.
Les niveaux de matière fécale sont «bas», selon Ikea
LIRE l’article en entier sur Nature To Share:
http://sco.lt/5RxGbZ
Entrez votre numéro de département et voyez ce qui se passe si la centrale la plus proche de vous a de sérieux problèmes…
Alors que la liste des produits « pur bœuf » qui contiennent de la viande de cheval ne cesse de s’allonger, le coup d’œil dans nos assiettes a de quoi donner la nausée. Les exemples d’aliments mal étiquetés, ou dont on retrouve des traces dans des préparations où ils n’ont rien à faire, se multiplient. Tour d’horizon des mauvaises surprises de l’agroalimentaire.
France, Grèce, Allemagne, Etats-Unis, Turqie, Russie, Afrique du Sud… tout y passe
http://www.francetvinfo.fr/le-tour-du-monde-des-arnaques-a-la-viande-et-au-poisson_270159.html
L’article ne date pas de hier mais est toujours autant d’actualité. Le coton génétiquement modifié donne des rendements inférieurs au coton conventionnel, a besoin d’être plus irrigué et les fermiers sont obligés d’acheter des semences tous les ans.
Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que beaucoup d’entre eux se suicident en buvant le pesticide que Monsanto & Co vendent avec les semences.
La vérité émerge lentement: un rapport du Ministère (indien) de l’Intérieur sur les morts par suicide, indique que, jusqu’à 2003, environ 100 000 fermiers se sont suicidés en six ans en Inde.Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels… depuis plus de quinze ans. En cause, l’endettement des paysans lié à l’achat de semences OGM miraculeuses… qui se révèlent catastrophiques.Depuis le milieu des années 80, l’Inde a accepté d’ouvrir totalement son marché en contrepartie de l’aide du Fonds Monétaire International. Une révolution économique s’en suivit, qui en fit un terrain d’expérimentation mondial en matière agricole. Depuis lors, les paysans sont livrés aux promesses des vendeurs de semences magiques : les rendements devaient être exceptionnels, et les insectes et parasites rangés dans les tiroirs de l’histoire. Les variétés traditionnelles ont même été interdites dans de nombreuses banques de semences gouvernementales. Mais pour toucher le Graal, il fallait débourser 10 fois plus pour la même quantité de semences. Le prix de la gloire. Et les paysans se sont massivement endettés.
Par Nolwenn Weiler (29 janvier 2013)
Combien de molécules chimiques dans votre pull, pantalon ou tee-shirt ? Combien de substances interdites ou jugées dangereuses pour la santé ? Les 80 milliards de vêtements fabriqués dans le monde chaque année regorgent de produits chimiques. Pour les rendre si colorés, si brillants, si faciles à repasser et si bon marché : des perturbateurs endocriniens, métaux lourds ou nano-matériaux, qui empoisonnent travailleurs du textile et consommateurs, et se diffusent dans l’environnement. Enquête sur ces vêtements qui nous rendent malades.
lire la suite ici: http://www.bastamag.net/article2907.html
Près d’une personne sur huit souffre encore de la faim dans le monde : notre système alimentaire ne fonctionne pas ! La campagne CULTIVONS d’Oxfam analyse les causes et propose des solutions pour remédier à cette insécurité alimentaire mondiale.
De nombreuses causes sont en jeu mais Oxfam a identifié deux phénomènes qui jouent un rôle déterminant : les pics de prix alimentaires qui empêchent d’accéder à la nourriture, et les accaparements de terre, qui privent les paysans de leurs moyens d’existence.
A qui la faute ? Aux Etats bien sûr, qui doivent jouer leur rôle de régulateurs mais aussi aux banques !
Spéculation sur les matières premières agricoles comme si l’agriculture était un marché virtuel, prêts bancaires aux plus gros producteurs européens d’agrocarburants, ou fonds destinés à être socialement responsables qui s’avèrent aussi peu éthiques que les autres : les recherches menées par Oxfam France ont montré la responsabilité des banques françaises, et en particulier de BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole dans cette situation.
Envoyez l’email ci-dessous aux PDG de ces trois banques pour leur rappeler leur responsabilité !
Rappellons ici qu’il existe des banques éthiques telles que le Crédit Coopératif et la NEF
http://www.oxfamfrance.org/Banques-la-faim-leur-profite-bien,1607