L’aluminium : un additif toxique dans nos aliments

11032013

L'aluminium : un additif toxique dans nos aliments dans 1001 raisons de s'y mettre 9916

 

L’aluminium est un des métaux lourds les plus dangereux pour notre santé. Il est pourtant présent dans beaucoup d’aliments. Et dans bien d’autres produits de consommation courante.

L’aluminium se retrouve dans nos assiettes en tant qu’additif alimentaire . Il est utilisé pour améliorer la conservation, la texture, mais aussi la couleur des produits.
La mise sur le marché de ces produits ne peut se faire qu’avec l’aval des Autorités sanitaires qui définissent une dose journalière admissible calculée à partir d’un schéma moyen de consommation. Or, cette dose est bien souvent dépassée puisqu’il s’agit d’une moyenne. Par Ailleurs beaucoup de consommateurs ont des tendances monophagiques, c’est-à-dire qu’ils ont tendance à consommer beaucoup du même produit augmentant ainsi la dose toxique absorbée.  » Et si plusieurs types d’additifs sont absorbés au cours d’un même repas certains peuvent devenir beaucoup plus actifs et toxiques par une simple association de molécules « . (Dr Laurent Chevallier…….)

lire la suite:

http://www.bioaddict.fr/article/l-aluminium-un-additif-toxique-dans-nos-aliments-a47p1.html




Plantes, surplus de récoltes et matériaux de jardinage gratuits

6032013

Plantes, surplus de récoltes et matériaux de jardinage gratuits dans Le coin des bonnes idées 604097_425112374235261_1753860312_n

 

encore une belle initiative!

http://plantcatching.com/fr




L’élevage industriel tue aussi les humains

5032013

Ne pas se laisser impressionner par la propagande, qui a découvert un joli bouc émissaire dans le scandale de la bidoche. Derrière le rideau de scène, le vrai responsable du massacre est l’élevage concentrationnaire.

 

C’est un peu « Au théâtre ce soir », défunte émission de la télé où les décors étaient de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell. Le scandale en cours de la bidoche de cheval fait revivre les belles heures du théâtre Marigny, mais en plus ringardos, ce qui n’est pas à la portée du premier metteur en scène venu.

Dans le rôle du gogol, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture. Dès le 11 février, alors que le feu gagne la plaine, il déclare sans s’étouffer: «Je découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne.» Le gars est petit-fils de paysan breton, il a un BTS agricole et il a même enseigné plus tard l’économie dans un lycée agricole. Mais il ne sait pas que la viande circule d’un pays à l’autre. Stéphane, même pas drôle.

Mais changeons plutôt de sujet, car on se contrefout que des marlous aient décidé de mettre du cheval dans un plat de bœuf. Dans un monde où Findus appartient à un fonds de pension qui exige 8 à 10% de rentabilité financière par an, tous les maillons de la chaîne sont appelés à truander pour remplir leurs obligations. Parlons plutôt de ce qui est planqué dessous le sang des bêtes. Pour bien comprendre ce qui va suivre, il faut commencer par un point d’histoire.L’élevage industriel tue aussi les humains dans 1001 raisons de s'y mettre 1080-02-Luz-Boucherie

En 1961, Edgard Pisani devient le ministre de l’Agriculture du général de Gaulle. Dans le droit-fil du comité Rueff-Armand, qui entend dynamiter le cadre économique ancien — le libéralisme, déjà—, une poignée de technocrates, soutenus par Pisani, décident en toute simplicité une révolution de l’élevage.

L’idée est de profiter de l’avantage comparatif français — 20 millions de bovins et de grandes surfaces de pâturages — pour produire massivement de la viande, laquelle sera exportée dans le Marché commun naissant et permettra en retour d’investir dans des industries d’avenir. (…) Mais un produit industriel est là pour cracher du flouze, pas pour faire plaisir aux amis des animaux. Un système se met en place, à coups de sélection génétique, d’alimentation «scientifique» — une partie viendra des Amériques sous la forme de soja—, de hangars concentrationnaires, de barres métalliques de contention pour interdire au capital de bouger son cul, et bien sûr de produits chimiques. La chimie est au cœur de l’aventure industrielle de la viande. Vaccins, anabolisants, hormones de croissance, antiparasitaires, neuroleptiques pour calmer les nerfs des prisonniers et, bien entendu, antibiotiques, sont utilisés chaque jour. Les antibiotiques, dans la logique industrielle, ne sont pas là pour soigner, ou si peu: on a découvert dans les années 1950 qu’en gavant les animaux avec ces médicaments on obtenait comme par magie une croissance accélérée de leur poids, et donc des profits.

http://www.charliehebdo.fr/news/elevage-industriel-tue-aussi-les-humains-770.html




Les mille et un bienfaits du bicarbonate de soude

5032013

http://www.le-bicarbonate.com/




Ikea retire des tartes peut-être contaminées aux matières fécales

5032013
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Nouveau scandale alimentaire en vue chez Ikea ? Après avoir retiré ses célèbres boulettes de viande de la vente parce qu’elle contenait du cheval, le géant suédois a annoncé mardi que ses tartes aux chocolat et aux amandes allaient disparaître de ses cafétérias car elles pourraient contenir…de la matière fécale.

23 pays sont concernés par ce retrait. Ikea n’a pas été en mesure fournir la liste de ces pays mais le directeur d’Ikea Food France a assuré ce mardi «qu’il n’y a ni en magasin, ni dans ses restaurants aucun de ces lots de gâteaux en vente actuellement» dans l’Hexagone.

Douanes chinoises

Les autorités sanitaires chinoises sont les premières à avoir émis des soupçons sur la qualité de ces «croquants au chocolat», baptisés «chokladkrokant» en langue originale et produites par le Suédois Almondy. Interceptés en janvier à l’aéroport de Shanghai, 1800 de ces gâteaux, destinés à nourrir la clientèle chinoise, n’ont pas résisté aux tests de l’Administration générale du contrôle de la qualité, de l’inspection et de la quarantaine. Selon elle, ils contenaient «un niveau excessif de bactéries coliformes», rapporte le quotidien local Shanghai Daily. Les douanes ont donc décidé de les détruire, plaçant le vendeur de meubles scandinave une nouvelle fois au pied du mur.

Les niveaux de matière fécale sont «bas», selon Ikea

LIRE l’article en entier sur Nature To Share:
http://sco.lt/5RxGbZ




Le manuel des jardiniers sans moyens – lien pdf

5032013

Le Manuel des jardiniers sans moyens part de la conviction que tout le monde peut jardiner, malgré l’absence d’expérience, de terrain ou de moyens financiers.

Cet ouvrage est complet : absolument TOUT du strict nécessaire pour se lancer dans l’aventure est présenté, sans compliquer les choses et en veillant à bien illustrer.

http://terredopale.fr/manuel/jardiniers/telecharger




Risques nucléaires

4032013

Entrez votre numéro de département et voyez ce qui se passe si la centrale la plus proche de vous a de sérieux problèmes…

 

http://www.greenpeace.fr/nucleaire/ppi/?__utma=1.772702354.1346946434.1346946434.1362076804.2&__utmb=1.1.10.1362077545&__utmc=1&__utmx=-&__utmz=1.1346946434.1.1.utmcsr%3Dterraeco.net|utmccn%3D%28referral%29|utmcmd%3Dreferral|utmcct%3D%2FEt-vous-ou-etes-vous-sur-la-carte%2C40096.html&__utmv=-&__utmk=85176985




La machine du voisin

4032013

La Machine du Voisin ?

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Ce projet original a pour vocation de mettre en relation d’heureux propriétaires de machines à laver avec des personnes comme vous et nous, dépourvues du précieux appareil ou trop éloignées d’une laverie, qui souhaitent, en échange d’un beau sourire et/ou d’une rémunération modique, partager un peu de leur temps et le tambour de leurs lave-linge.

Et ça fonctionne comment ?

Concrètement ? La Machine Du Voisin est un site Internet, un lieu de rencontre qui regroupe d’un coté les propriétaires de machines à laver – appelés Voisins-, et de l’autre les personnes qui en recherchent une pour faire leur lessive, les Sans Machine Fixe. On essaye de mettre en relation les uns et les autres suivant leur proximité, donc plus la communauté s’agrandit, plus il est facile de trouver une machine près de chez soi ! La suite est on ne peut plus simple : on réserve un créneau suivant les disponibilités et les conditions de chacun et le tour est joué !

Cool ! Mais à quel prix ?

Avec La Machine Du Voisin nous espérons que chacun s’y retrouve : que l’on cherche à arrondir ses fins de mois où profiter d’un service proche et bon marché. Nous laissons donc le soin aux propriétaires d’estimer et de fixer eux-mêmes le coût d’utilisation de leur machine, ils doivent en contrepartie indiquer la capacité et la catégorie énergétique de celle-ci afin d’offrir plus de transparence et de choix aux Sans Machine Fixe.

 

http://www.lamachineduvoisin.fr/




Partageons les jardins! Une belle initiative à Toulouse

4032013

Partageons les jardins! Une belle initiative à Toulouse dans Le coin des bonnes idées 531129_304985429606174_491547997_n

Le collectif Partageons les Jardins! est né en novembre 2009 de rencontres entre jardiniers et amateurs de nature en ville dans l’agglomération toulousaine. Ces rencontres consistaient à échanger sur nos expériences, partager nos savoir-faire, et parler des projets de jardins partagés qui sont en train d’éclore dans les quartiers toulousains, mêlant écologie, auto-production, plaisir de faire ensemble, art urbain,  respect des différences. D’autres projets existent, la Ville de Toulouse les encouragent (cf charte des jardins partages toulousains).

 

http://partageonslesjardins.fr/lassociation/le-collectif-2/




Quimper. Le boulanger qui donne ses invendus tous les soirs

4032013
une belle initiative!
José Louiset est boulanger à Quimper depuis 15 ans. Il ne jette plus aucun de ses invendus mais les donne à l’heure de la fermeture de sa boutique.

José Louiset est boulanger à Quimper depuis 15 ans. Il ne jette plus aucun de ses invendus mais les donne à l’heure de la fermeture de sa boutique.

Étudiants, sans abris… Tous les soirs, ils sont nombreux à attendre devant la boulangerie Au bon vieux temps de la rue Kéréon à Quimper (Finistère). Le boulanger José Louiset leur donne ce qu’il n’a pas vendu.

À la fermeture de la boutique, vers 19 h 30, des sacs blancs sont posés sur le muret en face de la boulangerie. À l’intérieur : sandwiches et viennoiseries. « Tout ce qui n’a pas été vendu dans la journée », explique José Louiset, propriétaire des boulangeries Au bon vieux temps et du Fournil du Chapeau rouge.

Depuis un an et demi, les étudiants et les sans-abri se regroupent souvent devant la boutique. « On ne pourrait pas s’acheter autant de pain sinon. Et le sandwich ça fait un repas », commente Lola, étudiante aux Beaux-arts de Quimper qui vient ici « au moins une fois par semaine ».

Ouest-France






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